En 1998, j’ai eu la chance, et le privilège, de sympathiser avec un des guides du Palais Garnier qui m’a fait découvrir des lieux fermés au public. Gros plan sur le dôme en cuivre, aplati en forme de couronne impériale. Il s’agit de la coupole qui recouvre la salle. Dans les combles, il est possible d’y remonter le lustre, dessiné par Charles Garnier, qui éclaire la salle et, qui dans le « Fantôme de l’Opéra », s’est décroché au cours d’une représentation. Rudolf Noureev a fait ouvrir une salle de répétition au sommet du dôme (les fenêtres visibles sous les dorures). Effet d’optique, le groupe d’Apollon brandissant la lyre, sculpté par André Millet et surplombant la partie du bâtiment réservé à l’administration, semble « couronner » la coupole. Sur les autres photos inédites prises le même jour, vous verrez les 2 premières ruches installées par Jean Paucton, mais aussi l’atelier des costumes, les cloches situées au-dessus de la scène….